Comment est utilisée l'énergie thermique Wc délivrée par la pompe à chaleur?

 

Cette question prends de plus en plus d'importance au fur et à mesure que l'on réalise que l'énergie (celle obtenue par la combustion des produits fossiles) n'est pas inépuisable. L'auteur de ce site en parallèle avec ses activités professionnelles a créé pendant son temps libre un logiciel d'assistance technique pour les équipements hydrauliques. Ces programmes scientifiques (dont le langage source a été tenu secret jusqu'à présent sont toujours utilisés pas sa société) 
Lors de l'étude du rendement d'une pompe à chaleur, il n'a pu s'empêcher de faire le rapprochement entre un des 25 programmes du logiciel OCES (Oilgear Computer Engineering Service) et la façon dont l'énergie Wc délivrée par la pompe à chaleur est utilisée au fin du chauffage de l'habitation. Ce programme concerne le bilan thermique d'un équipement hydraulique . Il est basé sur le principe de la conservation de l'énergie et a toujours donné des résultats remarquables très proches du comportement thermique des équipements hydrauliques. L'analogie est pour finir complète sur le plan théorique entre l'élévation de la température de l'huile contenue dans le réservoir et celle de l'air à l'intérieur de l'immeuble. L'auteur de ce site livre à un bon mathématicien les calculs suivants. Il fait aussi un listing du langage source de ce programme en BASIC qui amusera les programmeurs modernes en langage C, PHP, Pascal1) ou autre compte tenu de sa lourdeur. Le lecteur peux accéder directement à ce programme en ligne. Qu'il se rassure, bien que le programme THE.exe soit un programme exécutable aucun virus n'est inclus dans ce programme. Il laisse le soin à un organisme spécialisé dans le bilan thermique des habitations de mettre en pratique la théorie élaborée entre les deux tirets ci-dessous de telle sorte qu'il soit possible à chaque particulier ou à une copropriété de prévoir le comportement thermique de son habitation en fonction du volume de sa maison ou de l'immeuble. Un coefficient ζ de déperdition pondéré des parois fonction des surfaces vitrées en regard des murs devrait être déterminé avant d'appliquer brutalement la formule. Un simple enregistrement des températures en régime transitoire lorsque l'on arrête ou lorsque l'on met en marche la chaudière serait aussi très instructif sur la qualité de l'isolation du bâtiment. Le rapprochement entre les mesures effectués et la théorie permettrait certainement de mieux maîtriser notre consommation énergétique et d'éviter les gaspillages.

 

 

Aspect thermique théorique


En régime transitoire la puissance de la chaudière P = Wc/t  est principalement utilisée pour réchauffer l'air ambiant à l'intérieur de l'immeuble.
Au fur et à mesure que cet air se réchauffe une partie d'autant plus grande de la puissance consommée est dissipée vers l'extérieur par conduction au travers des murs des fenêtres et des plafonds terrasses.

Lorsque l'on atteint le régime permanent la température de l'air ambiant n'augmente plus et la puissance fournie par la chaudière est entièrement dissipée par conduction au travers des parois. (En l'absence de ventilation)

Le principe de la conservation de l'énergie permet d'écrire que pendant un temps dt  l'énergie fournie par la chaudière a été utilisée à deux fins:

 - La première a servi à élever de dθ la température du volume d'air V à l’intérieur de l’habitation soit Vc dθ   c étant la chaleur volumique de l'air en
    joule/m3 et °C     ( sensiblement 104 joule/m3 et °C
)

 - La deuxième a été rayonnée vers l'extérieur et a pour valeur ζ S θ dt  
  
(ζ étant le coefficient de déperdition des parois exprimé en Watt/m² et °C et S la surface des parois)

 

On a donc P étant la puissance de la chaudière en watt  Pdt = Vc dθ + ζ S θ dt   1)

 

La formule 1) permet de d’étudier le comportement de l’habitation en régime transitoire


En transformant cette équation et en intégrant on peut trouver comment varie la température de l'air des appartements en régime transitoire, par exemple l'élévation de cette température après un temps t quelconque.

___________________________________________________________calculs faux sous cette ligne ( les formules sont homogènes mais fausses )
 

En effet, si l'on divise l'équation ci-dessus par dt on obtient          P= Vc dθ/dt + ζ S θ  ou dθ/dt =P/Vc – (ζ S/Vc) θ

  en posant A= ζ S/Vc et  B= P/Vc  on a dθ/(B-A θ)=dt et en intégrant 1) on a :

logn (B-A θ)=-At+lognK      At  = +lognK - logn (B-A θ) = logn K/ (B-A θ)

Or si  x = logn y   on a  y = ex          On peut donc écrire avec  x = At   et  y = K/ (B-A θ)        K/ (B-A θ) = e At

 

Comme A= ζ S/Vc et  B= P/Vc   K/ (P/Vc - ζ S/Vc θ) = e ζ S/Vc t          K/ e ζ S/Vc t =      P/Vc - ζ S/Vc θ

Zone de Texte: θ =   P / ζ S - KVc/ e ζ S/Vc t

                   ζ S/Vc θ =   P/Vc  - K/ e ζ S/Vc t            soit                                                                

 

                                                                                                                  2) 


A) La température maximum de stabilisation
θmax = P/ ζ S  s'obtient en faisant t = ∞

 

Inversement, cette formule permet de trouver le coefficient moyen de déperdition des parois connaissant la température maximum de stabilisation 
 
ζ = P/ S θ
max

 

B) Variation la température de l'air après un temps quelconque t (secondes)
si la température de l'air au temps t=0 a une valeur θ0 supérieure à la température ambiante extérieure on trouve à partir de la relation 1)   
 
θ0 =   θmax – KVc    soit K  =  max -  θ0 )/ Vc   et en reportant cette valeur dans 1)  on a :
 

Zone de Texte: θ =  θ0  / e  ζ S/Vc t  
 
                                                                                                                                      3)

 

Dans le cas particulier ou l'on met en marche la chaudière et ou ou θ0= 0 (chaudière arrêtée depuis longtemps) on a  K  =  θmax / Vc soit :

Zone de Texte: θ = θmax ( 1- 1/e  ζ S/Vct   )
 
                                                

                                                                                                                                     4)

 

C) Comment varie la température dans les appartements lorsque l'on arrête la chaudière

    Il suffit de faire  P=0  dans la formule 1)   soit avec K  =  max -  θ0 )/Vc        θ  =  θmax - (θmax -  θ0 )/ e ζ S/Vc t   4)

 ____________________________________________________________________________________________________________calcul faux au dessus
 

1) Ces formules élaborés péniblement par l'auteur de ce site ont été vérifiés par un mathématicien italien:
.
 Merci de lire "après un temps t quelconque"

.

En effet, si l’on divise l’équation ci-dessus par , on obtient :

                                  

c’est à dire :                         et, en posant :      et   

on obtient :                  


Il s’agit d’une équation différentielle linéaire du premier ordre et degré, à coefficients constants.
En la multipliant pour un facteur intégratif (integrating factor) , on obtient :

 

                                                 

donc :                         

et, encore :                  

 

La constante C est déterminée par les conditions initiales :

                                                                             

Ce qui donne :             

donc :                         

 

et, finalement :                  2)


En conclusion, dans une phase de réchauffement, l’augmentation asymptotique de la température (pour ) est indépendante de ,
tandis que la constante de temps du transitoire est donnée par l'inverse du rapport ζ S/Vc

                                  

En faisant un calcul complémentaire, on trouverait que, dans une phase de refroidissement, la loi est la suivante :
 

                                     3)


Dans les deux dernières formules 2) et 3) ,
θ0  est la température initiale pour t = 0
Dans le deuxième cas de figure, il s’agit de la température au moment de l’interruption du chauffage

 


Application numérique simplifiée pour un gros immeuble

 

Hypothèses   
Prenons le cas d’un grand immeuble construit en 1970 et assez bien isolé pour l’époque mais en retard par rapport aux normes actuelles comprenant une centaine de petits appartements de 60m² nécessitant une puissance P = 200 kW  (204 Watts) pour atteindre une température maximum θmax = 20°C dans les appartements avec une température de 0°C extérieur. Le volume d'air des appartements est estimé à V= 15 600 m3 (hauteur de plafond 2,6m)  et une surface totale des parois (terrasses, murs, surfaces vitrées et sous sol) S en m²  estimé de l’ordre de 4700 m² . Connaissant la chaleur volumique de l'air  c de 1,250 kilojoules/ m3 et °C   on se propose de trouver le gradian maximum de montée en température et de chute de température en régime transitoire quand on met la chaudière en marche ou lorsqu’on l’arrête ainsi que le coefficient de déperdition moyen* des parois ζ en Watt/m² et °C de cet immeuble.

 

A ) Gradian maximum de montée en températuree en régime transitoire.

Pour l'obtenir il suffit d'écrire que l'énergie fournie par la chaudière au début de la chauffe part uniquement en élévation de la température de l'air (température suffisamment proche de la température extérieure dans les appartements pour que la déperdition par les murs soit négligeable). Soit P dt = V c dθ   ou  dθ / dt = P/ Vc = 204 / 16 000 x 1250 = 0,0186 °C/seconde (1,12°C/mn) soit une constante de temps du transitoire t égale à 20/0,0186 = 1075 s  

Si la chaudière est mise en marche alors que la température dans les appartement est égale à la température extérieure de 0°C la température maximum de 20°C dans les appartement est sensiblement atteinte après un temps de montée en température de 4 t = 71 minutes soit  environ 1h ¼

 

La connaissance de la constante de temps du transitoire t =Vc /ζ S = 1075 s   permet de calculer le coefficient de déperdition moyen des parois ζ = Vc / t S =  (16 000 x 1250) / (1075x4700) » 4 watt /m² et °C

 

B) Gradian maximum de chute de température lorsque l'on arrête la chaudière (régime transitoire)

Pour l'obtenir il suffit d'écrire que lorsque l'on coupe la chaudière alors que l'on avait atteint la température maximum de stabilisation θmax = 20°C l'énergie dissipée par les murs continue à être égale momentanément à celle qui était fournie par la chaudière avant la coupure. Soit en faisant P = 0 dans la formule 1)   Vc dθ + ζ S θmax dt = 0 

dθ / dt = - ζ S θmax / Vc = 4 x 4700 x 20 / 15600 x 1250 = - 0,0186 °C/seconde on retrouve (en valeur absolue) le même gradian maximum au début du refroidissement. Ce résultat est d’ailleurs conforme aux deux formules 2) et 3) ci-dessus la constante de temps du transitoire étant la même que l’on soit en phase de réchauffement où de refroidissement. Au bout d’un temps de l’ordre de environ 1h ¼  la température dans les appartements est sensiblement égale à la température de 0°C extérieure ce qui laisse bien peut de temps pour réparer la chaudière !  En pratique l'inertie thermique des murs augmente notablement ce temps. Des enregistrements de la température à l’intérieur du bâtiment lorsque l’on arrête la chaudière sont très utiles sur la qualité de l’isolation de celui-ci. Deux enregistrements comparatifs effectués avant et après les travaux d’isolation avec des conditions initiales comparables, sont encore plus instructifs. Ils permettent de vérifier la qualité des travaux effectués pour l’isolation. Le deuxième enregistrement permet de dimensionner la nouvelle chaufferie pour satisfaire le nouveau besoin en énergie thermique.

Il n’est pas besoin de grelotter pour avoir une bonne idée de la qualité del’isolation de l’immeuble.

La mesure du temps qui s’écoule entre l’instant où l’on coupe la chaufferie avec une température initiale, de par exemple 20°C, et celui où l’on atteind deux autres températurelors disons 18 et 16°C est suffisante.

 

Nota           

Les valeurs ci-dessus correspondent à la dépense énergétique d’un gros immeuble datant des années 60 situé en banlieu parisienne et ayant une de surface habitable totale de l'ordre de 6000 m² et consommant bon an mal an 150 m3 de fioul par an. Cet immeuble, pourtant correctement isolé pour l’époque a un coefficient moyen de déperdition par m² habitable de l’ordre de 250 kWh/par an nettement supérieur aux normes actuelles (80 kWh/par an en 2000 et évoluant vers 50 en 2020). La précision de ces derniers coefficients qui ne tiennent pas compte de la température extérieur alors qu’un hivers peut être plus ou moins rigoureux laissent à désirer. Rien que la surface de 650 m²  des ouvertures en simple vitrage de cet immeuble ayant un coefficient ζ » 6 wtt /m² et °C provoque une perte de puissance correspondant à environ 40% de la consommation totale ( 650 x 20 x 6 = 78 000 watt  soit près de 80 kW)*. Cette puissance peut être divisée environ par 6 avec un double vitrage  4/16/4 à isolation thermique renforcée (argon et couche métallique)



 

* La qualité de l'isolement de l'immeuble est aussi influencé par :

  1. La ventilation,

  2. Les déperditions par les cages d'ascenseur

  3. Les déperditions par les planchers bas lorsque les sous sol de l'immeuble est transformé en parking et est ouvert vers l'extérieur

  1. Les déperditions en terrasse

 

 

- Densité de l’air sec à la pression atmosphérique : environ 1,25 kg/m3

- Equivalent calorifique de un litre de fuel (10 kWh)

- La dépense annuelle correspondant au remboursement d’un emprunt de 900 000 EUROS* sur 8 ans couvrant sensiblement le financement d’une PAC à eau  de 250 kW suffisante pour fournir les besoins énergétiques de l’immeuble ci-dessus est à peine plus élevée que la dépense annuelle correspondant à l’achat des 150 m3 de fioul. (90 000 EUROS)

- Tout calculs confondus, - on se demande d’ailleurs pourquoi ils sont aussi complexe à calculer-, la région prend à sa charge environ sensiblement 50% de la dépense correspondant à l’implantation de la PAC (Etude préliminaire, forages, matériels et MO)

 

*Les prix indiqués par l'Ademe (80 à 160 EUROS/m² habitable) pour l’implantation d’une PAC sur eau de nappe semblent élevés compte tenu de l’effort de standardisation des constructeurs. Aspect très intéressant les coûts de fonctionnement sont par contre très faibles : au maximum de 2,3 à 3,5 € TTC par m2 habitable et par an. De ce fait après la période de 8 ans de financement de la PAC à eau, l‘économie pour la copropriété est importante. Il reste à espérer que les nouvelles normes en cours de préparation suite au Grenelle de l’environnement et ayant entre autre pour but de faciliter la rénovation des bâtiments anciens prendront en compte les contrats particuliers qui devront être consentis par l’EDF pour l’entraînement du compresseur de la PAC.

 

 

 

 

 Montée (ou chute ) en (de) température exponentielle
Cliquer sur l'image pour l'agrandir)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                 Listing du programme source avant compilation   THE.bas

 

   REM bilan thermique installation hydraulique THE-E

   CLS : KEY OFF

   PRINT : PRINT TAB(10); "BILAN THERMIQUE EQUIPEMENT HYDRAULIQUE"

   PRINT

   INPUT "capacité du réservoir en huile .. m3"; V

   INPUT "puissance dissipée dans le r‚servoir .. kw"; PUIS

   INPUT "température ambiante.... øC"; TA

   S = 9.2 * (V / 2.4) ^ .6666

   DENS = 850

   GRAD = (PUIS * 10 ^ 3 * 3600) / (V * DENS * 1000 * .5 * 4.18)

   REM COEF coefficient de deperdition du reservoir en watt/cm2 et deg C depent de la facon dont le reservoir est ventile.valeur moyenne 0,00397

   COEF = .00397

    TEMP = (PUIS * 10 ^ 3) / (COEF * S * 10 ^ 4)

    DT = (PUIS * 10 ^ 3 * 60) / (4.18 * V * 10 ^ 5 * .4)

    DT = (PUIS * 10 ^ 3 * 60) / (4.18 * V * 10 ^ 5 * .4)

    A = (.00397 * S * 10 ^ 4) / (V * 10 ^ 6 * .85 * .5 * 4.18)

    B = (.00397 * S * 10 ^ 4 * (50 - TA)) / (PUIS * 10 ^ 3)

    IF B <= 1 THEN C = B ELSE C = -1000000!

    T = LOG(1 - C) / (-60 * A)

    PRINT : PRINT : PRINT : PRINT : PRINT : PRINT : PRINT : PRINT : PRINT

    PRINT "BILAN THERMIQUE DE VOTRE EQUIPEMENT HYDRAULIQUE"

    PRINT

    PRINT "<ENTREES>"

    PRINT

    PRINT "capacit‚ en huile du r‚servoir="; V; "m3"

    PRINT "puissance dissip‚e dans le r‚servoir="; PUIS; "kw"

    PRINT "temp‚rature ambiante="; TA; "øC"

    PRINT

    PRINT "<SORTIES>"

    PRINT

    PRINT "surface du r‚servoir="; S; "mý"

    PRINT "gradian maxi de mont‚e en temp‚rature="; GRAD; "øC /heure"

    PRINT "temp‚rature maximum de l'huile="; TEMP + TA; "øC"

    IF (TEMP + TA) <= 50 THEN 350

    IF (TEMP + TA) > 50 THEN 380

350 PRINT "un ‚changeur de temp‚rature n'est pas indispensable"

PRINT

  INPUT "voulez-vous imprimer le r‚sultat sur votre imprimante"; ci$

  IF ci$ <> "o" AND ci$ <> "O" THEN END

  IF ci$ = "o" OR ci$ = "O" THEN 2135

2135 PRINT

INPUT "CLIENT: ", CLIENT$

INPUT "num‚ro dossier: ", NUM$

   INPUT "type d'‚quipement :", T$

   PRINT

    LPRINT : LPRINT : LPRINT "CLIENT :"; CLIENT$: LPRINT "NUMERO DOSSIER :"; NUM$: LPRINT "type d'‚quipement :"; T$: LPRINT

    LPRINT

    LPRINT "BILAN THERMIQUE D'UN EQUIPEMENT HYDRAULIQUE"

    LPRINT

    LPRINT

    LPRINT "ENTREES"

    LPRINT

    LPRINT "capacit‚ en huile du r‚servoir="; V; "m3"

    LPRINT "puissance dissip‚e dans le reservoir="; PUIS; "kw"

    LPRINT "temp‚rature ambiante="; TA; "øC"

    LPRINT

    LPRINT "SORTIES"

    LPRINT

    LPRINT "surface du r‚servoir="; S; "mý"

    LPRINT "gradian maximum de mont‚e en temp‚rature="; GRAD; "øC /heure"

    LPRINT "temp‚rature maximum de l'huile="; TEMP + TA; "øC"

    LPRINT

    LPRINT "Un ‚changeur de temp‚rature n'est pas indispensable"

    END

380 PRINT "temps mis pour atteindre 50 øC sans ‚changeur="; T; "minutes"

    PRINT

    PRINT "d‚bit de refroidissement et de filtration recommand‚="; V * 100; "l/mn"

    PRINT "diff‚rentiel de temp‚rature d'huile dans l'‚changeur="; DT; "øC"

    PRINT "Débit d'eau de refroidissement:consulter votre fournisseur ce débit varie suivant le type d'échangeur(tube ou plaque), et la température
                  de l'eau à l'entrée de l'échangeur..."

  PRINT

  INPUT "voulez-vous imprimer le résultat sur votre imprimante"; ci$

  IF ci$ <> "o" AND ci$ <> "O" THEN END

  IF ci$ = "o" OR ci$ = "O" THEN 2136

2136 PRINT

 INPUT "CLIENT: ", CLIENT$

INPUT "num‚ro dossier: ", NUM$

   INPUT "type d'équipement :", T$

LPRINT : LPRINT : LPRINT "CLIENT :"; CLIENT$: LPRINT "NUMERO DOSSIER :"; NUM$: LPRINT "type d'‚quipement :"; T$: LPRINT

    LPRINT

    LPRINT "BILAN THERMIQUE D'UN EQUIPEMENT HYDRAULIQUE"

    LPRINT

    LPRINT

    LPRINT "ENTREES"

    LPRINT

    LPRINT "capacité en huile du réservoir="; V; "m3"

    LPRINT "puissance dissipée dans le reservoir="; PUIS; "kw"

    LPRINT "température ambiante="; TA; "øC"

    LPRINT

    LPRINT "SORTIES"

    LPRINT

    LPRINT "surface du réservoir="; S; "mý"

    LPRINT "gradian maximum de montée en temp‚rature="; GRAD; "øC /heure"

    LPRINT "température maximum de l'huile="; TEMP + TA; "øC"

    LPRINT "temps mis pour atteindre 50 øC sans ‚changeur="; T; "minutes"

    LPRINT

    LPRINT "débit d'huile recommandé‚ pour le refroidissement et la filtration ="; V * 100; "l/mn"

    LPRINT "différentiel de température d'huile dans l'échangeur="; DT; "øC"

    LPRINT "Débit d'eau de refroidissement (consulter votre fournisseur ce débit variant suivant le type d'échangeur
             (tube ou plaque) et la température de l'eau."

    END

 

                 1) Juste récompense d'avoir honoré Blaise Pascal en donnant son nom à un langage scientifique.
                     C'est en 1645 plusieurs siècles avant l'arrivée de l'ordinateur et à l'age de 18 ans qu'il imagine, fait reconnaître ses droits de propriété, et commercialise
                     cette incroyable "machine à penser"  à roues dentées capable d'additionner ou de soustraire des nombres de 12 chiffres et déjà basée sur le langage binaire.
                     Ne pas manquer de lire "Blaise Pascal ou le génie franç
ais" de Jacques Attali. Il y retrace la vie de ce génie universel et de l'incroyable précurseur que fut Blaise Pascal